Nous entrons entre des déferlantes dans un petit ancrage bien protégé. Nous décidons d'aller à terre afin d'admirer le paysage et le coucher de soleil est à coupé le souffle.le soleil touche l'horizon que des moustiques par milliers s'abattent sur nous. Nous courrons vers l'annexe. Malheur nous avons eu la brillante idée de faire de l'exercice et n'avons pas mis le moteur hors-bord...! Résultat Pierre doit ramer pendant que nous sommes littéralement assaillit par des prédateurs ailés des plus voraces que je n'ai jamais vue!
Je prends mon chemisier pour m'en servir comme d'un ventilateur et je le brandit énergiquement au dessus de nous en alternant vers Pierre, Jeremy et moi même. Pas besoin que dans la frénésie pour ramer je frappe quelque peu Pierre en tournant ma chemise comme l'hélice d'un hélicoptère. Nous arrivons au bateau.... Enfin!
Nous nous précipitons l'intérieur de l'abri du cockpit et fermons tout. Nous nous en sortons avec quelques bonnes piqûres et ne sortons plus de l'abri de la soirée. Au matin il fait beau mais l'eau n'est pas claire en raison des déferlantes qui bordent l'entrée de l'ancrage. Par contre, une nuit des plus confortable. Un seul autre bateau y était.
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