Nos amis arrivent vendredi un peu
avant midi. Jeremy est très content car leur fils Curtis est l’un de ses
meilleurs amis. Ils sont super content de se voir. Nous sommes tout aussi
heureux de les accueillir à bord. Conrad et Georgie sont des gens agréables
avec qui nous passons toujours d’agréables moments. Moi et Georgie avons
planifié d’aller chez Fairway, une épicerie où l’on trouve de l'importation et
tout sorte de bonne chose. Conrad nous accompagne pendant que Pierre, et les
trois gars (Jeremy, Alexandre et Curtis) restent au bateau avec lui. Nous
allons avant tout m’acheter un nouvel ordinateur car le mien a fait son temps
et j’en ai besoin pour mes cartes de navigation. Ensuite, nous allons à la
fameuse épicerie. Nous achetons des tas de truc afin de se faire un festin le
soir. Un employé de la place veut nous faire goûter les huiles d’olives, il
nous donne du pain croûté et nous asperge littéralement de toutes
sortes d’huiles, nos doigts dégoulines d’huiles exquises. Après 20 minutes,
selon Conrad, au comptoir des huiles nous achetons une huile d’Espagne
délicieuse. Le reste s'est fait plus rapidement.
Nous allons nous ancrer à la
Statue de la liberté et nous régalons de notre festin, tous sont ravis de ce
délice en 5 services, le tout bien arrosé, nous avons fini par une baignade au
clair de lune dans la mer. Le lendemain, il faisait toujours aussi chaud, cette
canicule n’en finit pas. Nous allons donc manger chez Bubba Gump, ce restaurant
célèbre en relation au film de Forest Gump. Nous nous sommes régaler encore une
fois et en avons vue de toutes les couleurs à New York. Le soir nous sommes
restés à la 79th pour la nuit qui était un peu plus fraîche.
Ce fut un week-end des plus
agréable remplit de rires et de blagues.
Dimanche matin 24 juillet
Dimanche matin, tous nos invités
nous quittent. Nous restons donc ensemble la petite famille et continuerons le
voyage à trois. J’ai du mal à faire fonctionner mon ordi avec mes logiciels de
navigation car j’ai acheté un Window7. Nous retournons à terre afin d'utiliser
Internet pour pouvoir rendre mes logiciels compatibles avec Windows 7. Je finis
donc par faire fonctionner le tout avec le mode window xp disponible sur
window7. Je te dis que j’ai travaillé avant d'y arriver. Enfin, tout fonctionne
nous repartons pour nous rendre au bateau. Le temps commence à ce couvrir.
Comme nous avons l’ordinateur et que Pierre veut que j'aille à l'épicerie
acheter des saucisses à l'agneau qu'il a bien aimé, je lui dis d'aller à la
marina et que je le rejoindrai, je serai bien capable d'apporter
l'épicerie.
Quand je sort du marché les bras
chargés de sacs, le ciel est noir, on dirait que la nuit tombe. Je me dis, vite
dépêche toi! Je cours comme je peux mais en tournant le coin le vent me frappe
en plein visage, c'est un grain! La pluie arrive avec et les gens court
s'abriter mais moi je me dis tant pis. J'en reviens tellement pas de ce
revirement de température et je me met à pouffer de rire en imaginant les gens
qui me voit passer avec mes paquets, des grosses gouttes me martelant la peau
avec ce vent à écorner les bœufs qui me fait marché en inclinaison.
En effet, les gens me voit rire et se demande bien ce qui me fait tant
rire ha ha ha! J'arrive finalement à la marina, trempée comme un canard. Le
vent est si fort, au moins 25-30 nœuds, que les vagues se forment à 3-4 pieds.
Les embarcations qui sont en navigations en sens inverse du courant, qui est
très fort à cet endroit, font du sur place, impossible d'avancer.
Les bateaux dansent dans tous les
sens dans les slips, les vagues embarques sur les quais. Nous sommes là à
l'abri sous le toit de l'office de la marina à regarder ce grain passer quand
tout à coup! Un gars crie sur le quai des annexes. Pierre comprend vite qu'il
se passe quelque chose et se précipite sur le champs vers le dinghy dock sous
la pluie. Il vient de penser à notre annexe qui est là. Malheur, un autre
dinghy qui avait lever sont pied de moteur à enfourché notre annexe et lui a
fait une incision de 3cm et il se dégonfle rapidement. Pierre arrive juste à
temps pour la sortir de l'eau avant qu'elle ne coule et notre moteur hors bord
avec.
Lors d'un accalmie entre deux
nuage, Pierre nous fait signe de la main de venir vite. Il prend un autre
annexe pour nous conduire à notre bateau avec l'ordi et l'épicerie. On saute
dedans et on y est en un rien de temps, Pierre n'a pas emprunté le moins
puissant, on volait presque. Je lui remet le kit de patch de zodiac et il
repart en trombe jusqu'au dinghy dock. À l'aide de mon parapluie resté dans
l'annexe, il fait la réparation et reviens 20 minutes plus tard.
Tout est rentré dans l'ordre et
nous partirons pour Norfolk demain matin comme prévue. La vie de bateau est
magnifique!
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